A Lyon, les travaux vont bon train pour construire la métropole de demain avec pour priorité des considérations environnementales, patrimoniales et commerciales.
Les Confluences ou l’urbanisme écologique du XXIème
Par le passé on y trouvait une prison, des abattoirs, de usines et un port industriel qui entraînaient une forte pollution. En dix ans, ces 150 ha ont vu l’émergence d’un quartier modèle en terme d’écologie puisqu’il produit plus d’électricité qu’il n’en consomme dans ses bâtiments mixtes (habitat, tertiaire et commerce). Une première en France pour ce quartier Hi Tech et durable labélisé par le WWF. S’y succèdent des constructions aux lignes et matériaux plus futuristes les uns que les autres (Cube Orange, Musées des Confluences, etc.) avec les grands cabinet d’architectures au rendez-vous. (Fuksas / HTVS, Jakob MacFarlane, etc.). Si l’attractivité architecturale est bien là, le grand défi pour demain sera d’y apporter un peu plus de chaleur et d’humanité pour que ses habitats et usagers s’y épanouissent dans une mixité sociale.
Le Grand Hôtel Dieu ou le passé ressuscite.
Le Laboratoire international de création artistique de Lyon (alias les Subsistances) installé dans un ancien couvent du XVIIe siècle des quais de Saône avait donné le signal d’une politique de grands travaux qui ne ferait plus table rase du passé. Bien au contraire, elle s’en servirait de terrain fertile pour se projeter dans le futur.
L’ouverture il y a deux ans du nouveau Campus étudiant de l’Université Catholique de Lyon (UCLY) construit autour de la Prison Saint Paul dans le quartier de Perrache poursuivait dans cette veine en cassant les murs pour faire entrer la lumière.
Mais la réalisation la plus spectaculaire reste le Grand Hôtel Dieu qui ouvrira ses portes fin 2017. A l’instar de celui de Marseille transformé en palace et des Docks devenu un village commercial haut de gamme, l’ensemble classé au titre des Monuments historiques en proposera commerces, les restaurants, bureaux , hôtel et même un centre de convention. Rien de moins que 42 000 m² de bâtiments rénovés, auxquels se sont ajoutés 10 000 m² de bâtiments neufs et 8 000 m² de cours et de jardins.
La Part-Dieu et les Halles : des jardins sur les toits
L’un des centres commerciaux urbains les plus gros de France (avec pas moins 267 commerces et restaurants et 34 millions de visiteurs par an) avait pris un sacré coup de vieux depuis 1975. Les propriétaires des lieux ont eu la bonne idée de lui refaire une beauté et de restructurer tout l’ensemble de la Part Dieu.
Finies les galeries confinées, vive la lumière et la transparence. Le parking sera transformé en agora suspendue où le shopping sera associé à une offre culturelle et de loisir qui devrait plaire à tous les claustrophobes. A l’horizon 2020 vous pourrez découvrir 80 enseignes supplémentaires et un cinéma de 18 salles. Au dessus des Halles de Lyon Paul Bocuse même topo pour le parking hélicoïdal qui va accueillir un roof top végétalisé avec une belle promesse pour les visiteurs étrangers : « A drink with a view ».
Gerland ou le sport du futur
Le renaming du Stade Gerland est acté. Il deviendra le Matmut Stadium, du nom du principal sponsor qui a aidé à financer les 35 M€ que vont coûter les travaux de rénovations de l’enceinte de mai à août 2017. Mais c’est la Tony Parker Academy qui focalise toute l’attention car elle symbolise à elle seule la nouvelle approche, plus professionnelle et pédagogique du sport incarnée par le célèbre basketteur exilé aux Etats-Unis. . Elle regroupe sur un même site le centre d’entraînement de l’Asvel, une académie de basket, une école d’arbitrage et un mini-campus étudiant mais aussi 400 logements pour loger tout le beau monde qui gravitera autour de ce projet dont l’ouverture est prévu à la rentrée 2018.
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