Retour au calme du côté de l’immobilier ancien. Le marché ralentit sauf dans les secteurs historiquement recherchés… Mais quand le bien est au prix, il se vend très bien.. A bon entendeur !
Si le premier trimestre a été dynamique, les professionnels de l’ancien constatent un léger repli des ventes sur le secteur Marseillais…Sauf dans des quartiers historiquement recherchés dans Marseille (hyper centre avec vue, 7ème, 8ème) proposant des produits exceptionnels. Dans ce marché très particulier, les produits rares, s’adressant aux hauts revenus restent recherchés et trouvent rapidement acquéreurs quel que soit le secteur géographique et cela, même si le prix est élevé. Le 3ème trimestre a donc été une période d’activité modérée pour l’ensemble des professionnels. Pas d’affolement cependant, plus que jamais, le marché de l’immobilier ancien est un marché atypique caractérisé par des micros marchés par secteur ou par type de bien. Bref on est sur un marché de tendances plurielles. Reste une notion partagée par tous les professionnels : le marché de l’immobilier ancien est aujourd’hui qualitatif, axé sur une estimation au plus juste prix: à défaut, le risque est de garder un bien en stock de longs mois ! Les ventes sont plus difficiles pour les biens compris entre 200 et 400.000 euros (T3, T4) destinés aux classes dites moyennes ou aux primo-accédants, catégories sociales plus inquiètes de l’avenir.
Un nouveau projet immobilier dans l’air?
